Dernière balade dans Georgetown avant de prendre le bus pour Ipoh.
Nous passons devant la blue mansion, maison magnifique qui appartenait à un riche marchand chinois.
Puis direction le musée national de Penang, sur deux étages, l'histoire de l'île nous est contée. Des gens du monde entier sont venus vivre sur l'ile au 18ème siècle, indiens, chinois, européens, indonésiens...
Nous sommes ensuite aller manger dans un de ces fameux baskets, des plats sino-malais. Nous avons discuter avec un malaisien qui vit à Singapour et qui nous a conseillé un plat de fritures divers (je ne sais pas trop ce que c'était mais en tout cas c'était bon !)
Nous remarquons ensuite dans le taxi qui nous emmène a la gare routière, notre chauffeur est d'origine indienne mais il n'a jamais été en Inde.
Le bus est pas mal, il part à l'heure, nous avons de la place pour nos jambes et la clim n'est pas trop forte. Le trajet se passe bien, l'autoroute est en bon etat. Nous voyons des étendues de champs de palmiers (pour l'huile de palme) et des étendues de forêt.
Après 2h30 de bus, nous arrivons à Ipoh. La ville est beaucoup plus grande que ce à quoi nous nous attendions.
Un taxi nous dépose devant notre hôtel, le French Hôtel, qui n'a pas grand chose de français, mais notre chambre est propre avec une grande douche et un immense lit (2 m de large).
Nous partons a la découverte des anciens bâtiments coloniaux, la gare, le club très anglais de la ville...
La ville n'a pas le charme de Georgetown, mais nous voyons quand même quelques jolis rues et des dessins sur certains bâtiments. Il fait une chaleur pas possible, au moins 35°C !
Le soir nous partons à la recherche des hawkers de la ville, ils sont bien cachés, nous devons traversés un parking pour les trouver. Il y en a toute une enfilade, une cinquantaine environ, et les tables devant chacun sont occupés. Deux dames, une mère et sa fille, nous accueillent à leur table. Nous mangeons un Penang laksa et un curry mee. La fille me montre comment tenir mes baguettes, comme quoi je devais bien faire pitié